O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon 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jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la O mon jardin d'eau fraîche et d'ombre Ma danse d'être mon c?ur sombre Mon ciel des étoiles sans nombre Ma barque au loin douce à ramer Heureux celui qui devient sourd Au chant s'il n'est de son amour Aveugle au jour d'après son jour Ses yeux sur toi seule fermés Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer D'aimer si fort ses lèvres closes Qu'il n'ait besoin de nulle chose Hormis le souvenir des roses A jamais de toi parfumées Celui qui meurt même à douleur A qui sans toi le monde est leurre Et n'en retient que tes couleurs Il lui suffit qu'il t'ait nommée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Mon enfant dit-il ma chère âme Le temps de te connaître ô femme L'éternité n'est qu'une pâme Au feu dont je suis consumé Il a dit ô femme et qu'il taise Le nom qui ressemble à la braise A la bouche rouge à la fraise A jamais dans ses dents formée Heureux celui qui meurt d'aimer Heureux celui qui meurt d'aimer Il a dit ô femme et s'achève Ainsi la